• 82 - L'Apocalypse des Ovnis : Livre III - Chapitre LIII : Le Vrai Visage des Aliens

     

    Les Photographies des Polymorphes par Daniel Nemes

     

     

    Une des nombreuses Images réalisées par Daniel Nemes avec son appareil photographique appelé "L' Hexagone".
     

    « Je suis un scientifique et inventeur espagnol, en 2013 j'ai découvert la technologie Energivision qui nous permet de capturer des êtres d'origine inconnue (autres plans). »

    [Daniel Nemes -  Les Visiteurs Multidimensionnels]

    https://www.google.com/search?source=univ&tbm=isch&q=daniel+nemes&client=firefox-b-d&sa=X&ved=2ahUKEwjm5e70k7frAhVl8uAKHRAJAmcQsAR6BAgOEAE&biw=1704&bih=966

     

     

     

    La Fourche du Dieu Hadès

    (Joe = Diminutif de Dieu - Biden = Fourche Bident)

     

     

    La Guerre de Troie

     

    Depuis le récit mythique de la guerre mythique de Troie, selon Homère, le royaume d’Hadès étant plus peuplé que le royaume des hommes, ses Armées des Ombres envahissent de plus en plus notre Terre, où ils peuvent s’incarner en prenant possession des corps et des âmes, pour semer le Chaos dont ils se repaissent, en exacerbant les comportements primaires, instinctifs, agressifs et meurtriers des humains.

    Ces créatures polymorphes, des mondes parallèles endogènes au notre, apparaissent sous la forme de mystérieux visiteurs montrant, quelquefois, leurs autres visages aux hommes qui ont sont les témoins.

     

    Le Vrai Visage des Aliens

     

     

    « Vous voyez bien que l'esprit peut se perdre comme il peut s'acquérir. »

    [Le Planète des Singes - Pierre Boulle - 1963]

     

     

    A Bas les Masks

     

    Voici les récits de trois rencontres rapprochées de ce type que nous avons extrait directement du dossier des « RR3 Rencontres du Troisième Type en France » de Julien Gonzalez. Collection : Énigma Éditions Le temps Présent. 2014 + Ovnis 54 - Le catalogue de la vague de 1954 rapportée par la presse - Tome 1 Jonathan Giné, Annie Joigneaux.

     

    Attention, les Âmes sensibles s'abstenir !

     

    Près de Gorbio (ou de Menton), Alpes-Maritimes, printemps 1954, 02h40, Lorenzi.

     

    Le témoin rentre chez lui à pied, par un petit sentier. Soudain, il entend des bruits métalliques et pense qu'il s'agit de personnes occupées à bricoler. Puis il entend des bruits de voix. Au détour d'un petit escalier, il tombe net sur un engin lumineux posé au sol, de 5 à 6 m de diamètre, A côté se trouve un être d'environ 1,60 de haut, mince, harmonieux, revêtu d'une combinaison phosphorescente avec, devant le visage, un voile troué de deux orifices pour les yeux. L'humanoïde a eu un mouvement de surprise en apercevant le témoin, puis il a prononcé quelques mots dans une langue inconnue, gutturale... C'est alors que le témoin aperçoit sous l'engin un second personnage, occupé à une tâche mystérieuse, et qui se redresse vivement. Il visualise le témoin, et d'un geste assez lourd, il porte les mains sur son ventre, sur une boîte noire d'où jaillit un rayon lumineux. Instantanément, le témoin se sent paralysé, et cette paralysie augmente en même temps que l'intensité du rayon de lumière solide. Le témoin ne peut plus bouger, mais il continue à voir et à entendre. Le second personnage est plus petit que le premier, ses proportions sont moins harmonieuses, la tête est plus grosse. Il est habillé de la même manière. Le « N°2 » dit quelque chose de très court au « N°1 » et s'approche du témoin. Les deux êtres échangent de nouveau quelques mots. 

     

    A Visage Découvert 

     

    Le « N°2 » semble plus détendu après avoir constaté l'état du témoin, s'approche à environ 60 cm de sa tête et brusquement, relève son voile avec la main gauche, en levant la tête vers le témoin, de manière, semble-t-il, que ce dernier puisse voir parfaitement son visage. Celui-ci sera décrit de la manière suivante : Front très haut et très large. Pommettes saillantes, menton pointu et assez fort. Nez très fin et en bec d'aigle, lèvres minces. Dents blanches et régulières. Barbe clairsemée sur la pommette droite. Peau de couleur assez foncée. Les yeux sont légèrement plus écartés que sur un visage normal, vraisemblablement avec des paupières. La forme ne diffère pas tellement des yeux normaux, peut-être un léger type Asiatique. Ils étaient plus gros et globuleux.

    Dans un premier temps, il a semblé au témoin que le personnage n'avait pas d'yeux, simplement des trous dans les orbites, puis il a perçu dans l'orbite gauche un globe blanc, sans iris ni pupille. De cet œil gauche coulait une grosse larme d'un liquide épais et brun, qui descendait jusqu'à la commissure des lèvres. Était-ce cela que l'être tenait à lui montrer ? Nous n'en saurons jamais rien... L'être a lâché son voile qui est retombé sur son visage et, avec ses bras, à deux reprises différentes, il a fait des gestes éloquents, comme s'il incitait le témoin à le suivre, à ce moment, le « N°1 » qui paraissait le chef est intervenu et le « N°2 » s'est calmé instantanément. Les deux êtres se sont alors retournés et se sont dirigés tranquillement vers l'appareil sur lequel ils sont montés, sur le dessus, non sans difficultés, en s'aidant mutuellement, l'un poussant l'autre, le premier grimpé tirant l'autre. Le témoin les a vus disparaître dans l'engin sans qu'il puisse préciser où, il n'a remarqué aucune ouverture bien qu'il ait entendu un bruit sourd de fermeture métallique, Puis il a perdu connaissance... 

     

    (Enquête de Jean Chasseigne, 18 ans après les faits, publiée dans Lumières Dans La Nuit n°126 pages 8 - 10 ; Fernand Lagarde, Mystérieuses Soucoupes Volantes pages 136 - 137 + Interview en février 1976 par P. Bellemarre (émission C.Q.F.D.) au micro d'Europe n°1 qui donne 22h00 au lieu de 02h40.) (Fernand Lagarde, Mystérieuses Soucoupes Volantes pages 136 - 137)

     

    Un cas de RR3 au scénario quasi-identique nous est parvenu du Canada suite à une enquête réalisée par l'ufologue Jean Ferguson. Voici le récit complet publié en 1978 dans un livre « Les humanoïdes, les cerveaux qui dirigent les soucoupes volantes » (page 241 - 244) :

     

    Date : Début de l'été 1950. Heure / entre 1 heure et 2 heures du matin. Lieu : Vassan, village rural de l'Abitibi, à peu de distance de Val-d'Or.

     

    L. B. revenait chez lui après avoir passé la soirée à jouer aux cartes avec ses voisins. Il faisait beau, le temps était clair. Le témoin marchait sur la route en terre battue quand il a aperçu, près d'une grange abandonnée depuis peu, une lumière. En même temps, il a entendu des bruits qu'il a pensé être d'origine métallique. Il s'est demandé s'il était prudent de s'approcher, mais après un temps d'hésitation, il a décidé de le faire. Il entendait alors parfaitement des éclats de voix. Il a cru qu'il s'agissait de gens qui avaient élu domicile dans cette grange pour faire de la bagosse, un alcool fabriqué de façon illicite. Il avait déjà eu connaissance que cela s'était vu dans la région. Perplexe, le témoin s'est arrêté. Il a eu l'idée de revenir sur ses pas, car il ne tenait pas précisément à tomber sur des distillateurs clandestins. La curiosité aidant, il s'est glissé prudemment derrière une corde de pitonne (mesure de billes de bois, vendues pour en faire du papier). Là, il entendait très bien les voix et il voyait l'objet qui émettait la lumière. Il s'agissait d'un disque lumineux et brillant de 6 mètres de diamètre, suspendu à un mètre et demi du sol. « Je n'avais jamais entendu parler de soucoupes volantes de ma vie et j'étais loin de me douter que ça pouvait être ça...

    Près de cet appareil, j'ai vu nettement, à cause de la lumière qui était quand même assez forte et qui sortait de l'objet, un être de 1,60 m. Il était bien fait, mince et l'air plutôt jeune. Du moins, c'est ce que j'ai pensé à ce moment-là. Je n'avais pas peur de regarder parce que je n'avais plus peur de faire face à des fabricants d'alcool frelaté. J'ai donc contourné la corde de bois et je me suis avancé. ».

    De près, le témoin a constaté que le bonhomme avait un vêtement phosphorescent d'une seule pièce et sur le visage, il portait un masque qui paraissait fait d'un morceau de cuir souple avec des trous pour les yeux. Il commençait au milieu du front et se terminait juste dessous la bouche. Le témoin ne s'est pas senti très brave devant le personnage masqué lorsqu'il s'est tourné vers lui, s'apercevant de sa présence, puis il a prononcé des mots dans une langue inconnue. « Il détachait ses syllabes avec une légère hésitation entre chacune d'elles. J'ai bien pensé que c'était de l'allemand, même si je n'ai pas entendu souvent cette langue. ».

    Presque aussitôt, le témoin a perçu un mouvement sous l'objet lumineux. Un autre personnage a surgi de dessous l'appareil . Monsieur L. B. a fait la réflexion suivante : « Baptême ! Mon affaire est faite ! Ils sont deux et je suis seul ! » .Peu rassuré, il observe chaque geste des deux étrangers. Le second personnage est plus petit que le premier ; il est vêtu de la même façon ; sa tête est plus grosse et elle est recouverte d'une sorte de cagoule. Il a les épaules larges, le dos voûté. A la ceinture, il porte un objet semblable à une lampe de poche. D'un geste pataud, il dirige vers le témoin cet instrument, celui-ci se sent aussitôt mortifié. (Dans le langage de Monsieur L. B. , cette expression signifie qu'il ne peut faire un seul geste, mais il garde toute sa connaissance ; il entend donc et voit tout ce qui se passe autour de lui sans pouvoir exécuter un seul mouvement). « C'était comme si tout à coup j'avais eu du plomb dans tous les membres. ».

    j'ai pensé que si j'essayais de faire un seul mouvement ? Ça prendrait des années avant que j'y parvienne. Et là, j'avais peur, car je me suis dit que si jamais je penchais en avant, je pouvais tomber et m'assommer sur une pierre ou bien me démettre un membre puisqu'à l'époque, je pesais comme il faut 225 livres : j'étais considéré comme un gros homme. ».

    Mais cette impression devait s'avérer non fondée puisque le témoin est resté solidement ancré à l'endroit où il avait été pétrifié. Les deux êtres se sont mis à parler. Le premier semblait prendre un ton plus haut comme s'il était le chef. Le personnage à la lampe de poche s'est approché tout près du témoin. Il lui a même touché le menton avec sa main, probablement pour constater sa paralysie. Monsieur L. B. se souvient très bien de cette main aux doigts déformés comme par l'arthrite, « des doigts de vieillard. ». Il était bien plus court de taille que le témoin, car sa tête arrivait tout juste à ses épaules. Pour autant que le témoin avait la possibilité de bouger les yeux, il pouvait distinguer les êtres autour de lui. Peut-être que l'être ne le voyait pas très bien, car il a enlevé sa cagoule.

    Là, même paralysé, Monsieur L. B. a eu un frisson de dégoût. Le visage de la créature était à cinquante centimètres du sien et il en distinguait tous les traits. La peau en était ridée comme celle d'une vieille pomme et tout aussi basanée. Il était déformé par un rictus : on voyait bien toutes ses dents, plus petites que celles d'un homme ordinaire et égales comme si une seule dent avait servi de modèle à toutes les autres. « C'était épouvantable à voir ! Et les yeux, les yeux ! Mon bon Monsieur, c'était quelque chose à voir ! Quand j'y repense, ça me fait encore frémir ! Car il me montrait ses yeux avec ses doigts tout déformés ; je me suis toujours demandé pourquoi. Il avait des globes oculaires semblables aux nôtres, mais le tour des yeux avait des plissures de peau comme le tour des yeux d'une poule ! Et les points noirs des yeux n'arrivaient pas à la même hauteur, comme s'ils regardaient chacun de leur côté. J'ai vu aussi que la face n'avait pas la moindre mobilité : elle était plaquée là, un point c'est tout. ».

    « J'ai senti dans le geste de cet être qui m'indiquait son visage comme une marque d'amitié ou de confiance même si c'est fou à dire ! Il voulait me faire comprendre quelque chose, mais quoi ? Pour finir, il m'a touché le bras et il a remis sa cagoule. Il est resté quelques minutes à regarder mon visage. L'autre qui n'était pas intervenu jusque-là s'est remis à parler très fort. Celui qui était devant moi m'a quitté sur-le-champ pour se rendre jusqu'à l'engin lumineux. Les deux sont alors montés dans l'objet par une courte échelle ; il m'a semblé qu'ils n'étaient pas bien agiles. ».

    Monsieur L. B.  ne se souvient plus de rien. Il prétend n'avoir pas perdu connaissance, mais il n'avait plus la force d'ouvrir les yeux malgré les efforts qu'il faisait. Il est resté ainsi pendant de longues minutes. Et peu à peu, il a pu bouger de nouveau. Il se sentait très en forme, très lucide, comme si cette période de paralysie avait décuplé toutes ses facultés. Lorsqu'il a été capable d'ouvrir les yeux, il n'y avait plus rien devant lui, ni appareil ni créatures. Il s'est assis dans l'herbe nouvelle et il a essayé de réfléchir à ce qui venait de lui arriver. Le témoin est maintenant âgé de 65 ans (1976). Vingt-cinq ans se sont écoulés depuis l'incident et il n'a jamais pu oublier.

     

     

    Le Dévoilement

     

    Fernand Lagarde, membre du comité de rédaction, dès 1968, de la revue : Lumières Dans La Nuit, de Raymond Veillith, ...

    [et auteur de Mystérieuses Soucoupes Volantes  avec la participation d'Aimé Michel et de Jacques Vallée par le groupement LDLN - 1974]

    ... a suggéré  que l'ufonaute avait dévoilé à M. Lorenzi son Vrai Visage, celui d'un Alien appartenant à une espèce qui a (visiblement) de graves problèmes de dégénérescence.

    Serait-ce là, le principal motif de la Venue sur Terre de tous ces ufonautes, afin d'y puiser dans sa réserve génétique exceptionnelle les éléments utiles à leur ré-génération ?

    On pourrait effectivement l'admettre, avec les nombreuses abductions et les récits d'hybridation et de croisements entre humains et les extraterrestres, qui circulent sur notre planète, depuis les temps les plus anciens jusqu'à l'époque moderne.   

     

    Les Voilés

     

     

    Littoral de la France, août 1954, au bord de mer, un petit gerçon de 10 ans jouant sur la plage voit brusquement sur le bord du rivage un disque surmonté d'un dôme posé sur la plage, et un humanoïde de taille moyenne qui est proche de cette soucoupe volante.

    Une autre créature au visage voilé s'est approchée de lui, enlève son voile lui révélant son étrange visage, le petit garçon ressent de la tristesse mélancolique face à cette créature qui semble souffrir, avec un oeil injecté de sang et l'autre sombre muni d'une pupille, de grands yeux sombres avec des pupilles noires plus nuancées, des dents abimées, et sur une joue il voit comme une blessure, et cette créature regarde dans les yeux  petit gareçon pendant quelques instants, qui est pris d'un malaise.

    La créature va s'éloigner sans rien dire, aucun mot n'est échangé, rejoint son compagnon qui est resté à l'écart ; les deux ufonautes regagnent la soucoupe volante qui décolle, et l'engin va s'éloigner en disparaissant au loin.

    L'enfant va être traumatisé, et ses parents voyant son important état d'agitation iront faire une déposition auprès de la Gendarmerie. 

    Ovnis 54 - Le catalogue de la vague de 1954 rapportée par la presse - Tome 1 Jonathan Giné, Annie Joigneaux

     

     

     

    Le Port du Voile

     

    Mais, pourquoi  donc afficher, ostensiblement, le port d'un voile, d'un masque ou d'une cagoule ?

    Voilà ce qui est inattendu et très surprenant de la part de visiteurs aliens qu'on imagine plutôt en combinaisons spatiales, ou en blouses blanches de laborantins !

    Faut-il interpréter ce genre d'anomalie ou d'enquerre, à la manière habituelle de nos contrées terrestres à savoir :

    1/ une barrière de protection, un acte de superstition voire un rite occulte de défense contre les esprits,

    2/  au pire, un signe de soumission à une quelconque autorité,

    3/ au mieux, une pratique d'allégeance religieuse,

    4/ ou bien un rite magique de substitution ou d’usurpation identitaire ?

     

    Ne nous voilons pas la face

     

    Comment ne pas s'apercevoir et reconnaître que ces trois récits sont structurellement identiques ?

    Exactement comme si l'un des textes a servi de modèle à la rédaction et à l'adaptation habile des autres.

    Je connais un autre cas de copier/coller aussi flagrant dans les rapports ufologiques, il concerne la célèbre RR3 de Maurice Masse à Valensole (04 France), du 01 juillet 1965, et son plagiat apparent, ou si l’on veut son cas Jumeau, de la RR3 de Matthieu Morice entre Caen et Creully (14 France), du 01 juin 1964.

    Cf. : http://ufofu.tumblr.com/post/26896215803/un-coup-dessai-m-connu

    Dans ces 4 observations RR3 identiques (2 par 2) on ne peut nier les faits rapportés, sans porter atteinte à la probité des témoins ou des enquêteurs, qui sont tous théoriquement au-delà de toute suspicion de manipulations ou de tricheries.

    D’autant que ces rapports sont le fait de la fine fleur de l'ufologie nationale, dont un officier supérieur de la Gendarmerie Nationale – (excusez du peu - Non - il ne s'agit pas de Monsieur Jean-Claude Bourret, promu, lui aussi, officier supérieur de la Gendarmerie Nationale pour services rendus à son Pays).

    Ce renvoi inopiné à la RR3 de Maurice Masse, à Valensole le 01 juillet 1965, qui est considérée comme un classique irréfutable de l’ingérence alien sur notre planète est d’autant plus opportune qu’elle présente un certain nombre de particularismes, également, hors normes.

    Comme par exemple le fait que Maurice Masse et son père avaient constaté (avant sa RR3) depuis une semaine des dégâts nocturnes dans son champ de lavande, et le plus dérangeant, les traces physiques laissées par l’ovni, avec en surcroît ce pivot central, qui a creusé un trou cylindrique de 18 cm de diamètre et de quarante centimètre de profondeur, et coudé en trois sillons plus petits (six centimètres de diamètres) à partir de quarante centimètres de profondeur.

    Or, ce pivot central fait penser à une sonde, suggérant que les ufonautes auraient très bien pu, à cette occasion, déposer ou diffuser quelque chose sur place ?

    N'a-t-on pas également signalé la présence d'un objet dans le sol en profondeur et à l'aplomb de ce pivot central ?

     

    La Divulgation

     

    Si cela semble être le cas à Valensole, la RR3 de de la famille Moreno peut résoudre cette énigme, en effet, à Trancas, Argentine, le 21 octobre 1963, la famille Moreno a découvert, après le départ des Ovnis, une multitude de Petites Boules composées à 96,48 % de carbonate de calcium et 3,51 % de carbonate de potassium et en suspension dans l'air l'odeur du Soufre (confirmée et constatée par la doctoresse de l'hôpital de Trancas dont la voiture s'immobilisa à l'approche des Ovnis volant à basse altitude) cette odeur si caractéristique des contacts avec l'Infra-Monde & qui est systématiquement associée à l’apparition ou à la manifestation du Diable ou de ses Acolytes (les 111 Légions de 666 Suppôts), les Endogènes du Royaume de Hadès et de sa Reine Perséphone dont l’attribut est traditionnellement une Grenade symbolisée par une Petite Boule.

    Les RR3 ne sont visiblement pas toutes d’origine Exogène, et on comprend pourquoi celle de Maurice Masse est particulièrement dérangeante pour les debunkers de l'ufologie.

     

     

    Back from the dead

    (Joe = Diminutif de Dieu - Biden = Fourche à Deux Dents)

     

     

    La Baie de Quiberon & les Alignements de Carnac

    Tableau  de Lizio (56) - Bretagne - France

     

     Les Pierres qui Marchent

    Passage & Brèche, ou Porte Induite de la Baie de Quiberon à la Côte des Mégalithes, dont les Alignements de Carnac figurent les Anges ou Trépassés, qui selon la Légende apparaissent en procession de la Baie des Anges jusqu'au Pardon de Saint Colomban, enveloppés de Manteaux Rouges Vifs, assimilés à des Moines Rouges, dont on a fait des Templiers.

     

     L'Ankou

     

     

     

    Les Intrus

     

     

     

     

     

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