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S . O . S . OVNI
« Moi, je vous baptise d'eau, pour vous amener à la repentance [ou "Métanoïa" ! ] ; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers. Lui, il vous baptisera du Saint Esprit et de feu. »
[Mathieu 3.11]
Un Type Très Particulier de Rencontre Rapprochée !
(http://www.forum-ovni-ufologique.com/t13248-1977-les-evenements-ovni-de-colares#ixzz3SDLmD1SD.)
Les événements se sont principalement concentrés sur la ville de Colares, environ 2000 habitants, sur l'île du même nom, qui se trouve dans l’État du Pará, dans le delta du fleuve Amazone sur la côte Nord-Est du Brésil. Mais la région entière a été visitée par le même phénomène.
En Août 1977 sur l'île de Colares, un phénomène étrange à commencé à se produire, que les autochtones nommaient Chupa-chupa.
Le phénomène « Chupa-Chupa » en Amazonie
En Amazonie, les OVNIS sont appelés les "aparelhos" [les machines] par des victimes et la violence de ces choses extraterrestres, principalement dans leurs attaques sur des femmes, ont fait nommer ce phénomène bizarre : "Chupa-chupa." [Suce-Suce]
(http://www.forum-ovni-ufologique.com/t13248-1977-les-evenements-ovni-de-colares#ixzz3SDPAQGGH.)
Des objets lumineux étranges sont apparus au-dessus des quelques villes de la région. Ces objets projetaient souvent de minces rayons, apparemment de lumière, dirigés vers les gens. Les personnes touchées s'évanouissaient et se sont réveillaient avec une anémie étrange. Elles témoignent qu'elles se sentaient comme si une partie de leur sang a été prélevée par les rayons étranges.
Le Senor Sebastião Vernek Miranda a décrit son expérience comme suit : "J'étais là avec mon épouse, Palmira, devant l'église sur le front de mer, quand, vers environ 20:00, nous ont vu une lumière intense, orangée, arriver de la mer vers la ville. Pendant qu'elle s'approchait, elle s'est élevée, et puis, se déplaçant rapidement, a disparu vers la partie intérieure de l'île."
Le coiffeur Carlos Cardoso de Paula, âgé de 49 ans, vivant au numéro 231 de la Travessa Deodora Da Fonseca, a eu une rencontre encore plus rapprochée avec des "lumières", comme il le rapporte lui-même :
"Tout le monde était endormi à part moi. J'étais en train de fumer une dernière cigarette quand soudain une boule de feu est entrée dans notre maison, vers le haut, près du pignon. Elle a commencé à tourner en rond dans la salle et puis est finalement venue très près de mon hamac. Elle est remontée le long de ma jambe droite jusqu'à mon genou (sans toucher ma peau). J'ai observé avec beaucoup de curiosité pendant qu'elle se déplaçait vers mon autre jambe. Alors j'ai commencé à me sentir faible et somnolent. Ma cigarette est tombée de ma main et je suis sorti en criant. L'aérolithe a rapidement disparu et tout le monde s'est réveillé. Je pense qu'elle avait recherché une veine dans mon corps mais n'est pas parvenu à le faire. Pendant que son éclat croissait j'ai senti une sorte de chaleur venir d'elle."
En fait, tellement de gens ont rapportés avoir été attaqués par des faisceaux de lumière sortis de petits moyens ou grands OVNIS dans ce secteur que seulement quelques un sont mentionnés ici.
Ovni à Mosqueiro au sud de Colares
Le 20 octobre, trois femmes ont été frappées sur leur poitrine par les faisceaux de lumière : "chacune des trois a été atteinte d'une tension nerveuse énorme et d'une sorte de lassitude inconnue" comme si elles recevaient des décharges électriques constantes" écrivit un journal.
Dans la soirée du 29 octobre, Benedito Campos et son épouse de dix-sept ans Silvia Mara étaient à leur domicile, quand "ils ont repéré un objet ovale et argenté émettant un faisceau verdâtre comme un phare, vers la salle où ils se trouvaient. Très étonnés, ils se sont rapprochés d'une petite fenêtre et, au moment où ils faisaient cela, un rayon se projeta à travers la fenêtre et atteignit directement Silvia, la jetant dans une sorte d'état de transe." Silvia, qui était alors enceinte, s'est évanouie, sur quoi deux entités sont apparemment entrées dans la maison portant quelque chose ressemblant à une torche dorée et "le faisceau a de nouveau frappé Silvia, cette fois dans le bras gauche au niveau du poignet. Ses veines ont semblé "se soulever" comme gonflées par le faisceau qui les frappaient."
Plus tard, alors qu'il s'était rendu chez un voisin, Benedito a été également brièvement paralysé par un rayon lumineux. Craignant la perte du bébé à naître, le mari et l'épouse ont été transportés de nuit par bateau à la clinique médicale de Mosqueiro, suivis pendant tout le trajet par l'OVNI, qui n'a plus fait d'autre tentative de leur nuire. Ils sont restés là pendant trois jours, où l'épouse put récupérer, mais Benedito "était dans un état de dépression grave pendant quelques jours, ses fonctions motrices perturbées et, selon les propos de sa mère, "pleurant fréquemment."
L'activité des OVNIS au-dessus de l'île de Colares était si intense que les gens ont commencé à penser que les "Chupa-chupas" essayaient d'établir une sorte de contact avec eux. Telle était l'opinion exprimée par le Sr Raimundo Ferreira "Mimi" Monteiro. Il pense toujours que les engins provenaient des fonds de la mer ou d'une sorte de base sous-marine située dans le comté de Marajó ou peut-être dans la région du Caldeirão.
Alfredo Bastos Filho, un ancien maire de ville, a confirmé ceci et a indiqué : "oui, en effet, je puis vous dire qu'il n'y avait alors pas un instant de tranquillité. La population était terrifiée par cette affaire de "Chupa-chupa". Je suis même parvenu à voir en personne "Mirota", une des femmes victimes des rayons qui était en traitement médical à la clinique de santé."
Les autochtones ont été tellement effrayés que plusieurs des femmes et des enfants ont quitté la ville. Les hommes qui sont restés allumaient des feux pour monter la garde la nuit, faisant en outre éclater des feux d'artifice et frappant des bidons à chaque fois qu'ils ont vu l'approche des Chupa-chupas. D'autres s'enfermaient dans leurs maisons par crainte du phénomène. On a mentionné plus tard que plus les gens faisaient de vacarme et de feux d'artifice pour les éloigner, plus ces engins s'approchaient d'eux.
Des blessés et un mort
En Novembre 1977 le médecin en charge de la santé publique dans l'île, le docteur Wellaide Cecim Carvalho, a pris soin d'environ 35 personnes prétendant avoir été touché par l'étrange rayon. Elle a pris des échantillons de sang, et a conclu que les victimes ont souffert d'hyperémie généralisée, de maux de tête chroniques superficiels, de brûlures, de fièvres intenses, de nausées, tremblements dans le corps, raideurs, asthénie et présentaient de très petits trous dans la peau là où ils avaient été frappés par les rayons.
Elle a écrit : "tous avaient souffert de lésions au visage ou dans la région thoracique." Les lésions, ressemblant à des dommages de radiations, "ont commencé par le rougissement intense de la peau dans le secteur affecté. Plus tard les poils tombaient et la peau tournait au noir. Il n'y avait aucune douleur, seulement une légère chaleur. Des marques de petites piqûres dans la peau pouvaient également être notées. Les victimes étaient des hommes et des femmes d'âges variables, sans liens entre eux."
En décrivant leurs expériences avec ces faisceaux lumineux, la plupart des victimes ont affirmé qu'elles ont été "immédiatement immobilisées, comme si un poids très fort pesait sur leur poitrine. Le faisceau avait environ sept ou huit centimètres de diamètre et était de couleur blanche. Il ne les traquait pas mais les frappaient soudainement. Quand ils ont essayé de crier aucun son ne sortait, mais leurs yeux sont restés ouverts. Le faisceau était ressenti comme chaud, "presque aussi chaud qu'une brûlure de cigarette," à peine tolérable. Après quelques minutes la colonne de lumière se rétractait lentement et disparaissait." La plupart des symptômes ont disparu en général après une semaine.
A Agulhas Fincadas, Mme Maria Lopes, habitante de Vila Gorete, aux confins du Rio Tapajós, dans le voisinage de Santarém (Pará), raconte son cas impliquant des engins étranges qui absorbent l'énergie des êtres humains, connus sous le nom de Chupa-Chupa. "J'ai vu un objet se poser tranquillement dans les buissons ici tout près... Il avait attaqué deux hommes et une femme, qui avaient commencé à se déplacer avec deux pêcheurs", raconte Maria. D'autres gens de l'endroit avaient été paralysés en observant la scène et des hommes ont été tués dans des circonstances identiques. Au cœur de chacun des décédées ils y avaient eu des ensembles de petits trous comme des dizaines d'aiguilles."
Beaucoup s'étaient blessés en essayant d'échapper à un de ces objets étranges. Dans de nombreux cas, les marques laissées par les rayons sur la peau de victimes étaient des marques qui pouvaient avoir jusqu'à huit petits trous. Dans ces occurrences, l'appellation de Chupa-Chupa semblait bien appropriée car elles avait perdu jusqu'à approximativement 300 ml de sang par ces blessures.
Ce fut le cas pour Claudomira, une habitante de l'île de Colares. Elle affirme que sa famille ne trouvait déjà plus un sommeil normal à cause de la crainte de ces engins. "En un de ces jours, après minuit, je me suis réveillée en raison d'un flash puissant, une sorte de rayon de lumière verte claire focalisée qui est descendue du haut du toit vers ma poitrine gauche. J'ai essayé de crier, mais ma voix n'a pas fonctionné. J'ai senti une agréable chaleur ... Plus tard, ce faisceau de lumière a diminué et j'ai vu que j'ai été brûlée."
Claudomira a indiqué qu'elle a aperçu un objet étrange, ressemblant à un parapluie, duquel un être de peau claire, avec des yeux "orientaux" et de grandes oreilles sortit. Selon elle, la créature était habillée d'un vêtement vert serré et avait eu une sorte de pistolet dans la main, qui a émis le faisceau lumineux. A ce moment, Claudomira s'est senti perforé comme par des aiguilles sur son sein. "
Après cela, j'ai ressenti une migraine et une grande faiblesse, qui m'a laissée prostrée pendant plusieurs jours." Le lendemain de l'événement, elle avait été dirigée vers l'unité sanitaire de la ville, où elle a été prise en charge par le docteur Wellaide Cecim Carvalho, qui l'a envoyée à l'institut médical Renato Chaves, à Belém, pour des examens de complément. Son malaise et ses migraines constantes ont duré de nombreux jours, suivis de fatigue et de faiblesse. Des années après, Claudomira ne se sent toujours pas complètement remise. "Ma santé n'est jamais redevenue la même depuis cette nuit." Elle n'est pas la seule avoir vécu une telle situation. Une estimation dit que des milliers de gens, également des hommes, avaient souffert les attaques du Chupa-Chupa dans les années de 1970 à 1980, et ces incidents se produisent toujours aujourd'hui, bien que moins fréquemment.
"Les séquelles émotives et physiques sont très communes dans ces cas," affirme le docteur Wellaide Cecim Carvalho, qui a pris soin de Claudomira. Bien qu'elle ait été sceptique et qu'elle ait d'abord cru que les histoires de Chupa-Chupa étaient des croyances populaires ou de la sorcellerie, le Dr Wellaide a fini par être convaincue de la véracité des cas quand elle a été confrontée à leur fréquence croissante. "Avec l'augmentation du nombre des personnes blessées, j'ai commencé à accorder plus d'attention aux dommages existants. J'ai vu les choses qui n'existent pas dans mes livres médicaux," dit-elle. Selon elle, les victimes de Chupa-Chupa présentaient des brûlures des plus étranges, pas comme celles provoquées par le feu ou l'eau chaude, comme on pourrait le penser, mais très semblables à celles produites par des irradiations de cobalt.
"Les dommages changeaient avec le temps. D'abord cela commençait par une raideur intense dans le secteur touché, ce que l'on appelle une hyperémie. Plus tard, les poils et cheveux de la région affectée commençait à tomber (alopécie) et des jours plus tard la peau pelait. "Dans cette période de développement," a dit Wellaide, "il était possible de noter des trous, semblables aux perforations par des aiguilles." Un des cas les plus intéressants dont elle a assuré les soins s'est produit avec une dame qui avait des problèmes cardiaques. Elle est arrivée au bureau du docteur très nerveuse et immédiatement elle a montré son sein gauche, sur lequel il y avait deux trous étranges.
En 1977, l'ile brésilienne de Colores est visitée par des Objets volants inconnus pendant des mois. On voit tous les jours toutes sortes d'engins de toutes tailles et toutes formes, arrivant du nord, depuis le ciel voire sortant des eaux.
Finalement, devant la menace tous les habitants évacuent l'ile.
La Mort de Joao Prestes Filho.
Le second cas de mort consécutive que nous allons évoquer est due à une observation d’O.V.N.I. se situant également au Brésil. C’est, nous allons le voir, dans des conditions atroces qu'a péri, un Brésilien de 40 ans, du nom de Joao Prestes Filho :
(www.taverne-etrange.com/m/article-2047369.html)
A Aragariguama, petit bourg tranquille de l’État de Sao Paulo, un phénomène curieux alimente les conversations de ses habitants : pendant la nuit, des lumières étranges évoluent dans le ciel en décrivant par bonds des trajectoires irrégulières, au-dessus des monts et des bois de la région … En 1946, le jour du Mardi-Gras, Joao Prestes Filho et son ami Salvador dos Santos quittent tôt le matin le village pour une partie de pêche. Avant de partir, Joao a demandé à sa femme, qui devait emmener leurs fils aux divertissements du Carnaval, de laisser une des fenêtres de la maison entrebâillée pour lui permettre de rentrer. C’est vers 19 heures que les deux pêcheurs regagnent le village. Une heure plus tard, Prestes, l’air terrorisé, fait irruption dans la maison de sa sœur Maria et explique, en bredouillant, que lorsqu’il a tenté d’ouvrir la fenêtre de sa maison, un faisceau de lumière, venu d’on ne sait où, l’a atteint. La sœur de Joao appelle immédiatement les voisins. Parmi les personnes accourues, il y a Aracy Gomide, inspecteur fiscal de la préfecture de Sao Roque. Gomide, qui possède des connaissances médicales pratiques, a l’habitude de soigner les maladies bénignes de ses voisins. Principal témoin, celui-ci précisera plus tard que les yeux, les paupières et les sourcils de Joao, que ce dernier disait avoir protégés avec les mains, semblaient parfaitement normaux. De même, toujours selon Gomide, les parties couvertes par les vêtements ne présentaient aucune trace de brûlure.
Peu de temps après, sur les parties touchées par la mystérieuse lumière, la peau commence à se rider comme si elle était restée plusieurs heures dans de l’eau bouillante. Puis les chairs apparaissent et semblent se décoller des os. La pointe du nez commence à se désagréger ; les dents inférieures sont mises à nu. Sur les pieds et les mains décharnés, les ongles ont totalement disparu. Seuls, le palais et la langue ne paraissent pas touchés, car Joao parle normalement. Chose incroyable mais vraie : à aucun moment, Joao ne ressent la moindre douleur. Puis, brusquement, en l’espace de deux heures, le corps du Brésilien achève de se désagréger : les os et les dents sont complètement à nu ; le nez et les oreilles se détachent et roulent au sol. Ses yeux sont écarquillés de terreur et, de sa bouche désarticulée et grotesque, s’échappent des sons inaudibles. Atterrés par ce spectacle atroce, les voisins chargent Joao sur une charrette qui doit l’emmener jusqu'à l’hôpital le plus proche. Mais le malheureux ne l’atteindra pas : il meurt en cours de route, six heures après l’agression du faisceau de lumière. Il n’y eut pas d’examen médical. Seul un certificat de décès, signé par les témoins, fut dressé. Et sur ce certificat, une mention unique, qui ne reflète guère la mort effroyable de Joao : « Mort par brûlures généralisées. » Les services de police locaux, alertés par les témoins, effectuent quelques recherches qui se révèlent négatives : aucune trace ne put être relevées, ni sur les lieux de l’agression, ni à l’intérieur de la maison où rien n’avait disparu.
Pendant plusieurs jours, après les sombres évènements du Mardi-Gras, les habitants d'Aragariguama voient encore les mystérieuses lumières se livrer à des évolutions désordonnées dans le ciel…[réf aux ovnis qui tuent !] . Cf. OVNIS danger. Appel à la vigilance - Bob Pratt - Éditions Trajectoire (02/2010).
[Vous voyez bien que les Rencontres Rapprochées ne sont pas toutes exclusivement ni virtuelles, ni "Mélioratives", pour les témoins !]
N'ayez Pas Peur (de la vérité) !
Selon la Tradition suivie par les Anciens, les Ancêtres et les Ainés de l'Orden de la Chevalerie les Rencontres Rapprochées et « Approchées », [plus ou moins bien !] par les ufologues, ne sont pas toutes du Type « précédent » mais, en tout, de « Trois Types » distincts et différents [et non pas du « Troisième Type » !] :
1/ Les Rencontres Rapprochées Vraiment Involontaires [les RRVI] (dont les Témoins sont les Victimes Inconscientes ou les Cobayes Involontaires) :
[Cf. Les exemples des RR Brésiliennes citées ci-avant !]
2/ Les Rencontres Rapprochées Immatures [les RRI] (que les Témoins subissent et dont ils sont les Spectateurs, ou les Acteurs, "Non Préparés") :
Cf. Ci-après les RR3 de Warneton de A . M . qui commencent comme les RR3 "classiques" :
(Voir l'enquête détaillée de Jean-Marie Bigorne Chasseur d'Ovnis. Mémoires d'un enquêteur de terrain. Extraterrestres, Autocensures, Révélations, Éditions Le Temps Présent, Collection Énigma. 2014)
... quand, soudain, (pour la première fois) le 07 janvier 1974, les phares de son véhicule s'éteignirent et presque simultanément, après quelques ratés, le moteur s'arrêta. Puis la radio devint muette.
Donc, toujours au volant de sa Citroën Ami 6, il rencontra deux humanoïdes 1,30 m et 1,20 m [et un troisième genre « bidendum » resté en sentinelle près d'un objet inconnu, avec des lumières blanc orangé et posé sur trois pieds à terre] puis, le témoin ressenti un léger choc à l'arrière de la boîte crânienne, au niveau du cervelet, accompagné d'un son grave et modulé.
Les êtres étaient alors à environ 4 mètre de la voiture ... de même, le 06 juin 1974 [bis repetita !], au même endroit, mêmes circonstances, même heure, avec les mêmes deux humanoïdes. De nouveau, il ressentit un petit choc derrière la tête avec le son modulé.
Cela dura à peine deux à trois petites minutes, avant qu'ils disparaissent brutalement, comme « désintégrés » sur place, sans aucun bruit ou tout autre effet ! Quelques secondes après cette disparition instantanée, la radio reprit son fonctionnement normal et sans qu'A-M. y mettre la main. Le moteur fut remis en marche sans difficulté, et il rentra chez lui, ébranlé par cette nouvelle rencontre.
Signalons, dès à présent, que, dans ces premières RR 3 d'A-M. de Warneton, des informations ont été « réservées », comme bien d'autres, parce qu'elles ne cadraient pas avec la vision de l'hypothèse extraterrestres « écrous et boulons » [et souhaitée par la plupart ] !
Notamment ce message, délivré mot à mot, débité mécaniquement par un son grave et monocorde. Il fut répété à deux reprises, entrecoupé du son modulé :
« Allez - dire - que - nous - envahissons - la - terre ».
Pour le deuxième acte, celui du 06 juin 1974, de nouveau un petit choc derrière la tête et un son modulé, qui s'arrête avant la délivrance d'un second message. Ce dernier paraît être la suite de l'entretien du 7 janvier :
« Car - les - temps - sont - proches ».
Interruption de quelques brèves secondes, sans son modulé, répétition identique du texte, suivi d'une courte période toujours sans modulation, puis disparation instantanée des deux entités. Le tout aurait duré à peine deux minutes.
Mais, évidemment, ce n'est pas terminé pour les événements de cette aventure hors normes ... [qui n'ont pas été portés (évidemment) à la connaissance des ufologues jusqu'à la révélation de JMB].
Le 18 novembre 1974, à Warneton, même heure, même endroit et ... mêmes événements et partenaires [mais aucune trace d'Ovni dans les environs]. Temps de l'affaire, encore deux à trois minutes : d'abord léger choc derrière la tête, modulation, puis un nouveau message mécaniquement, répété deux fois :
« Ne - craignez - rien - nous - venons - en - paix »
Une fois le message transmis, modulation, et disparition instantanée. Il remit le moteur en marche sans difficulté et arriva un quart d'heure plus tard, profondément choqué, chez l'un des enquêteurs [ufologues !], pour témoigner de ce qu'il venait de lui arriver pour la troisième fois.
Et cela continua ! Le 16 décembre 1974, il affirma aux enquêteurs, avoir été contacté le jour même, mentalement, télépathiquement, et rendez-vous lui aurait été donné pour la date « anniversaire » de son premier contact, selon le procédé déjà bien rodé :
« Rendez - vous - le - 7 - janvier - 1975 ».
Ils décidèrent alors d'aller, jusqu'au bout, en mettant au point une sorte d'embuscade, afin de cerner au mieux le phénomène.
Puis vers 10 heures 10, alors qu'ils bavardaient amicalement, A-M qui était assis sur une chaise en face de l'enquêteur, s'arrêta brutalement de parler, son regard devint fixe, sa respiration s'accéléra et se fit difficile.
Ce dernier tenta de lui parler, sans le brusquer, mais il semblait ne pas entendre. Puis, quelques instants après, il reprit ses esprits et regarda l'enquêteur avec ahurissement, mais avec la respiration toujours oppressée et difficile.
Il parvint enfin à s'exprimer :
« Je viens de voir le plus petit, le bibendum, là derrière vous et il m'a transmis – A bientôt – et a disparu ! ».
Le soir, l'embuscade programmée, au lieu de Rencontre habituel, se mit en place …
… au fur et à mesure qu'ils approchaient de l'endroit prévu, de nouveau la respiration du témoin devint progressivement difficile ... Puis il s'exclama :
« Ils sont là, je le sens ! » … Plus loin : " Ils sont là, je les vois ! » … Le témoin toujours très agité cria : « Ils sont là ... Ils sont là ! ".
L'enquêteur allant à l'endroit indiqué, ne vit toujours rien et appela ses deux collègues dissimulés dans les parages : et ils découvrirent le témoin affalé sur son volant, pratiquement sans connaissance, la respiration à peine perceptible, et tous les trois assistèrent au « réveil » du témoin, aussi perturbé et ahuri que lors de la séance à son domicile.
« Je les ai vus ? Ils étaient là ! S'écria-t-il … et, ils ont dit qu'étant donné que mes supérieurs [les ufologues ? !] étaient là, ils ne pouvaient pas me délivrer le message, et ont disparu aussitôt !
De retour à son domicile, au bord des larmes, il dit aux enquêteurs :
« Mais alors, si je vois des choses que vous ne voyez pas, je suis fou ... ! ».
Quelques temps après le témoin fut soumis par deux thérapeutes à une régression hypnotique où il revécu sa rencontre du 7 janvier 1974, comme s'il revivait l'événement, il était extrêmement tendu, avec parfois d'importants accès de terreur. Devant la persistance de ces états, il fut décidé de stopper la séance afin d'éviter tout problème de santé physique ou mentale. Il était alors en larmes.
Conclusion des thérapeutes : il leur apparut que le témoin avait bien vécu un événement traumatisant – mais dans quel plan ? Il en avait été tellement bouleversé et commotionné qu'il s'avérait souhaitable de ne pas raviver trop vite ces souvenirs pénibles.
Après publication du texte classique [genre RR3 tronquée !] dans les revues ufologiques spécialisées, des éléments restés confidentiels [sur cette affaire] avaient été révélés à des personnes suffisamment "avancées (!)" dans les arcanes de l'ufologie : Aimé Michel, Pierre Guérin, Jacques Vallée et quelques autres. Plusieurs donnèrent leur sentiment personnel sur cette affaire qui posait déjà un gros problème pour l'évolution de l'ufologie [« Tôles et boulons » et autres !]. Certaines préférèrent ne pas réagir.
[C'est comme ça que s'écrit, la fausse histoire ... et qu'on viole tous les jours, la « Vérité » !] ...
[Vous voyez bien que les RR3 ne sont pas toutes, exclusivement, « physiques » mais, aussi, inclusivement « psychiques » !]
[Sur ces dimenssions déroutantes des RR ufologiques (du moins pour certains !) voir les travaux d’Ann Druffel (qui ont été "quizzés" !) et les livres de Jean Sider et de Fabrice Bonvin. Cf. aussi, l'article du blog de l'Orden de Chevalerie intitulé : La Lunatic Fringe.]
3/ Les Rencontres Rapprochées de Proximité [les RRP] (dont les Témoins ont la « Maturité » requise pour en devenir les Acteurs) …
[Voir ci-après pour les illustrées, la RR1, de Salida, Colorado, observée par Tim Edwards, 42 ans, le 27 août 1995 :]
« Papa, il y a quelque chose dans le ciel ! »
Il est 09heures 25, sa fille, Brandy, 06 ans, lève les yeux pour fixer les rayons du soleil.
« Papa, il y a quelque chose dans le ciel ! », signale Brandy à son père, qui n'y prête pas attention. Mais, devant l'insistance de sa fille, il se résout à suivre le regard de Brandy, qui pointe une portion céleste du doigt. Il reste planté sur place, pétrifié.
Quel est donc cet objet, dansant et reflétant la lumière du soleil ? Edwards se rue sur le téléphone pour avertir ses amis et connaissances.
C'est alors qu'il songe à son caméscope 8 mm : il filme 6 minutes 30 d'une incroyable scène, à savoir les évolutions silencieuses d'un énorme cigare volant aux impossibles manœuvres.
Georges, le père de Tim, le rejoint et, muni de jumelles, observe deux rangées de lumière clignotantes sur l'engin. Il remarque également de petites sphères qui virevoltent, entrent et sortent de l'immense cigare. C'est, enfin, au tour de Laray, 15 ans, l'aînée des filles de Edwards, de se joindre au trio pour contempler l'étrange spectacle.
Évoluant dans la haute atmosphère, l'engin échappe - par instants - au cadrage du caméscope. Sur la bande-son, on peut entendre Edwards s'exclamer :
« Ce truc est capable de franchir une centaine de kilomètres en l'espace de quelques secondes ! [Certains de ses déplacements ont atteint 15.000 km/h] ».
Au bout d'une heure 15 de spectacle, l'engin disparaît comme il est venu. Bouleversé, Edwards s'engouffre dans sa maison, contacte les employés de son restaurant : ont-ils, eux aussi, pu observer l'Ovni ?
En fait, il alerte, tout le monde, presse, radio, bureau du sheriff, centrale ufologique :
« Cet objet était si grand [il a été estimé à 750 mètres de long] que s'il avait atterri, il aurait recouvert toute la ville de Salida » rapporte Edwards » …
« C'était si étrange ... Je suis convaincu que cet engin n'est pas issu de notre planète. Je sais que cela semble dingue, mais je pense vraiment qu'il provient d'un autre monde ».
… Si bien que 23 individus finissent par rapporter l'observation d'un engin identique.
« Maintenant, avec les dizaines de témoins de Salida, sans compter ceux avec lesquels j'ai discuté au téléphone, qui se trouvaient parfois à des centaines voire des milliers de kilomètres de Salida, il n'est plus question de nier que quelque chose d'étrange se trouvait dans le ciel » s'exclama Edwards, enthousiasmé par la découverte de tous ces témoins.
Edwards consacre toute son énergie, son temps libre et ses ressources financières à comprendre son observation. Ses anciennes passions - la pêche ou la randonnée - appartiennent désormais au passé.
« Depuis août 1995, je consacre tout mon temps libre à étudier ce sujet, à informer le public. Mon implication est telle que j'ai perdu de mon intimité, mais, en contrepartie, j'ai rencontré des gens merveilleux » a-t-il expliqué un jour.
« En observant l'Ovni, un raz de marée émotionnel me saisit, l'impression que la science et l'histoire se rencontraient sous mes yeux, que cet engin était conscient de notre présence et voulait se faire filmer. Le but de cet Ovni est d'envoyer un message au monde, de lui dire qu'il est important que l'humanité connaisse la vérité » explique Edwards.
Edwards se sent depuis son observation, investi d'une mission : révéler la présence extraterrestre au plus grand nombre, et se plonge, corps et âme dans le monde des Ovnis, car il la ressent au plus profond de son être : il est convaincu d'avoir été « choisi » pour faire éclater la vérité.
L'excitation des premiers jours prend l'allure d'une obsession. Une foule de questions de nature scientifique, spirituelle, philosophique se bousculent dans son esprit, en quête d'improbables réponses. Et c'est ici, l'aboutissement de la métamorphose spirituelle initiée par l'observation de l'Ovni. C'est un sentiment étrange, diffus et irrésistible. Désormais, chaque seconde, chaque minute porte l'empreinte de cette mission dont l'importance prend des proportions démesurées. … Car elle revêt une forme sacrée, spirituelle et impossible à communiquer …
« Je pense que quelque chose de spirituellement important est en train de se produire. Je suis désorienté ... Une conscience cosmique s'active pour diriger l'humanité dans la bonne direction » relate-t-il le 27 septembre ...
Bref, en l'espace d'un mois, la vie de ce restaurateur tranquille et prospère bascule complètement ... Vers une ouverture sur le monde qu'il n'a jamais connue, une vie spirituelle exaltée, une façon de voir et de concevoir le monde radicalement transformée.
« Avant l'observation, les Ovnis ne m’intéressaient pas. Mais quand un tel événement survient, votre vie se transforme à jamais », met-il en garde. « C'était un moment intense et stressant, mais je ne me suis jamais senti aussi heureux. Je suis honoré de ce qui se passe ».
[Cf. ovnis les agents du changement. Le Temps Présent. 2014. Fabrice Bonvin, et Fabrice Bonvin de préciser : Tim Edwards n'est pas seul : « son cas ne constitue pas une exception mais plutôt une généralité ». En contact avec l'intelligence supra-terrestre, nombreux sont les témoins qui embrassent une nouvelle façon de voir le monde et développent une conscience élargie de la place et du rôle de l'homme dans la création ...]
[Ce changement ontologique et cette métamorphose, sont les « signaux » de ce que la Tradition Chevaleresque appelle une Métanoïa]
[Le terme grec Métanoïa est composé de la préposition (ce qui dépasse, englobe, met au-dessus) et du verbe (percevoir, penser), et signifie "changement de vue", un "renversement de la pensée". Et "Dans la Grèce antique, la métanoïa signifiait une mutation, un changement fondamental, une véritable conversion. Métamorphose exprime plutôt un changement au niveau de la forme. Métanoïa exprime, plus précisément, un changement d'état d'esprit."
La psychologie, utilise ce terme dans sa conception du processus d’individuation pour désigner une transformation de forces inconscientes. Il s’agit d’une transformation complète de la personne, transformation qui ressemble beaucoup à celle qui se passe à l’intérieur d’une chrysalide."] [Wilkipédia]
[Vous voyez bien que les RR, tout en étant « physiques » ne sont pas toutes "Péjoratives" et peuvent avoir, aussi, inclusivement, une portée « spirituelle » !]
En résumé :
Ces « Trois Types » distincts et différents de « Rencontres Rapprochées » s'apparentent, directement, par reflets, à ce que les textes sacrés appellent des « Expériences Transcendantes » :
Et c'est ce que la Tradition de l'Orden de Chevalerie définit comme les « épreuves » des Trois Voies [de l'Initiation !] qui mènent soit à la Mort, à la Folie ou à l'Illumination.
Elles sont différentes et distinctes, mais elles se déroulent toutes, sur la « Franche » où les « Mondes de l'Infra et du Supra » se rencontrent dans notre « Beau Monde », et aussi sur le « Champ [qui est celui du Blason Héraldique !] de Bataille » de la « Guerre des Mondes » …
Dans cette perspective :
1/ Les RRVI, correspondent à ce que les « néo-platoniciens » …
[Cf. La très prudente et timide approche [ou enquête] mais cependant « très louable ! » tentative, mise à la portée « intellectuelle et conceptuelle » des « Grands Initiés du Dimanche » (et de certains "fidèles" et pseudos ufologues du même jour !) à partir d'un film, réalisé sur l'origine du véritable : « Jeu Pédagogique et Mnémotechnique » du « Tarot », dit de « Marseille », mais en fait de « Marsile » Ficin, selon la thèse présentée par Philippe Truffault et par Christophe Poncet]
… appellent : le « Plan » du vécu de la « Terra Vehiculum » auquel on ne peut pas échapper ...
[comme, du reste, le signifie, clairement, "l'Enquerre" de l'immobilisation forcée des véhicules, et celle, de la « Paralysie » physique et sélective des témoins qui restent, cependant, conscients et en capacité de « voir » ! (Cf. L’article du blog de l'Orden de Chevalerie intitulé : Les Enquerres Ufologiques)]
... et qui conduit au « Mât » ; c'est celui, où les RR, mènent à la « Mort » [Physique, Pychique ou Spirituelle !] …
[Cf. Les exemples des RR Brésiliennes citées ci-avant !]
2/ Les RRI, correspondent à ce que les « néo-platoniciens » appellent le « Plan » du vécu des « Illusions », celui qui conduit « le Cavalier » au « jeu des épreuves », qu'il faut surmonter, pour progresser et s'élever ...
[Cf. Les épreuves auxquelles sont soumis les Chevaliers de la Queste du Saint Graal !]
…. par le discernement, et au « Jugement » qui lui permet de se libérer, ou au contraire, de s'enfermer comme le « Fôl » dans la prison des « Simulacres» [qu'ils soient terrestres ou extraterrestres !]
[et en particulier dans le « labyrinthe » de la « douce » musique, fascinante et irrésistible, des plaisirs des sens qui, lorsqu'ils deviennent excessifs, exclusifs et donc envoûtants, pourrait bien, comme le célèbre joueur de « flûte » (qui est au service exclusif de son "Seigneur et Maître" : la « dialectique matérialiste »), nous entraîner fatalement, à notre perte ou à notre perdition, [cas typique des RR3 et RR4 et + que semblent préfigurer les « Transes », de A-M. lors de ses RR3, à Warnetonde !]
… et même jusqu'à la fameuse « Prison Psychique », du « Chariot de l’Âme » de l'Académie Néo-Platonicienne de Marsile Ficin, qui y est entrainé par « le cheval de l'animus descendant ».
3/ Les RRP, correspondent à ce que l'Académie de Marsile Ficin appelaient aussi le « Plan » du vécu des « Bien-faits » [ou "Bien-nés" au "Monde" celui des "4 Vivants" ou Tetramorphes] ; celui qui conduit le « Pèlerin de l’Âme », sur le chemin de la « Justice de la Vérité », et où, le « Chariot de l’Âme » de l'Académie Néo-Platonicienne de Marsile Ficin est entrainé par « le cheval de l'anima ascendant », qui conduirait jusqu'à la « Libération » et la Maîtrise Totale des Quatre Éléments constitutifs de l'Univers ! [Voie que semble « emprunter » Tim Edwards, depuis sa RR1 à Salida, le 27 août 1995]
Comment se prémunir d'une Rencontre (Vraiment !) Trop Rapprochée ?
En la devançant !
Car, d'une manière ou d'une autre [ou dans un sens comme de l'autre !] on ne peut pas y échapper, et que nous devons tous : " y Passer " [un jour !].
C'est pour cela qu'il faut [ou "Faux" celle de l'Ankou !] s'y préparer du mieux possible [en allant à sa rencontre !] et en prenant les devants - avant !
C'est précisément ce que la science héraldique et l'art du blason appelle une « Rencontre » (Rendre-compte) [autrement dire : l’Éveil de la prise de Conscience !] [du Type 1 à 7 !].
C’est-à-dire en l'affrontant directement, et en lui faisant face ...
Tant il est vrai aussi que, pour échapper « à ses démons », et se libérer, au mieux, de leurs emprises, il est toujours préférable de les affronter directement ! [à condition d'y être suffisamment préparé ou armé ...]
L’éveil n'est-il pas le meilleur remède pour dissiper un cauchemar et évanouir ses terreurs ?
Nous disposons donc [toujours] du choix [ou du libre arbitre !]
Soit :
Nous nous soumettons à la « Diabolophanie »
[de diable « diabállô » = signifiant « celui qui divise » ou « qui désunit » ou encore « qui détruit », et de phan, « apparition, révélation ou manifestation » = ce qui crée le cahos]
et nous prenons alors le risque :
de nous diluer, et de nous disperser, ou de nous égarer dans la « Gaste Forêt » des existences superficielles et illusoires, et donc de nous diviser en nous coupant de notre propre totalité [et intégrité ] de Corps, d'Âme, mais aussi, d'Esprit !
... et de "succomber", alors, à la facilité et à l’indolence, en baissant « notre garde » [notre sauve-garde !], jusqu'au degré extrême de la soumission, de la fausse existence par procuration et jusqu'à la dépendance ...
Soit :
Nous optons pour l'ouverture à nos « Théophanies », celle de la « Libération » par l'accomplissement physique, la réalisation psychique et la révélation spirituelle de la mise à jour de notre « Apocalypse » [ou de notre « Initiation ou Ré-Initialisation »] par l'oeuvre illimitée de notre « Remise en « Queste...tion » ou "re-nouvellement/rénovation" [ou Céphalophorie !], et donc pour notre "mélioration" perpétuelle …
Dés lors, nul doute, que notre meilleur « Sauve-Conduit ! » réside dans la voie de « l'Equophanie »,
[« equo » = cheval, et de phan, « apparition, révélation ou manifestation » = la quête de la réalisation]
... celle qui permet de nous « Temps...Pot...Iriser » - par la pratique et l’exercice - des vertus qui sont exigées par la « Voie Royale » ou « Queste du Saint Graal ! ».
Et, in fine, pour nous « assurer » [le mieux !], et le meilleur passage, progressif et harmonieux, entre nos « Diabolophanies » et jusqu'à nos « Théophanies », avec l'armement :
1/ des douze qualités chevaleresques que sont : Le Courage, la Puissance, le Partage, la Génération, la Souveraineté, la Créativité, l’Équilibre, la Fermeté, la Volonté, la Persévérance, l’Altruisme, l’Empathie …
2/ des quatre vertus cardinales du Pouvoir que sont : la Force, la Tempérance, la Justice et la Prudence …
3/ et les trois grâces théologales de l’Autorité que sont : la Foi, la Charité et l’Espérance
[Cf. La série des articles du blog de l'Orden de Chevalerie intitulés : Exercices pratiques héraldiques]
En "Divine...et...Yves" … vous voyez bien que la « Queste du Saint Graal », des Chevaliers de la Table Ronde du Roy Arthur n'est pas : qu'une « Œuvre Romanesque » …
[Écrite en langue Romane ou langage courant pratiqué à l'époque, c'est à dire accessible à tous !]
… mais une « réalité » toujours présente et toujours vivante [au même titre que les RR 1 jusqu'aux RR 7 !] bien « tangible », et adaptée aussi à notre Temps !
[ Suivez-la … et « L'Ove-Nid » ...
... S . O . S . (Save Our Souls ) ...
Sauvera Vos Âmes ! ]
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